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1. Besançon 865 (204 v) 3-5 [ rs: person ]

t, et l’onnouroit la princesse tres liement et grandement. Et la estoient le conte d’Armignac et le sire de Labreth, et fu le prince priéz que il voulsist prier au conte de Fois que il quittast au

2. Besançon 865 (207 r) 3-7 [ rs: person ]

e pluseurs fais d’armes par ceulx de la garnison de la Lourde, et comment le conte d’Armignac et le seigneur d’Alebrest furent pris du conte de Foix.

3. Besançon 865 (208 r) 3-7 [ rs: person ]

de Fois prinst asséz pres du Mont de Marsen le conte d’Armignac, l’aieul de cestui, le seigneur de Labreth, son nepveu, et tous les nobles qui ce jour avecques eulx estoient, et les amena en Ortais et encor

4. Besançon 865 (208 r) 3-7 [ rs: person ]

prinst asséz pres du Mont de Marsen le conte d’Armignac, l’aieul de cestui, le seigneur de Labreth, son nepveu, et tous les nobles qui ce jour avecques eulx estoient, et les amena en Ortais et encores en la con

5. Besançon 865 (209 r) 3-8 [ rs: person ]

et il me commença a faire son compte: ¶ Le conte d’Armignacet le sire de Labreth, ce dist li chevaliers, atout bien cinq cens hommes d’armes, s’en vindrent en la conté de Fois

6. Besançon 865 (212 v) 3-10 [ rs: person ]

nt, disoit que il le mettroit a merci, et en eust fait aucune chose, car le conte d’Armignach et le sire de Labreth, qui heent le conte de Fois pour les victoires qu’il a eues sur eulx, li boutoient en l’oreille; ma

7. Besançon 865 (215 v) 3-13 [ rs: person ]

, combien que le duc ne li fist point de mal. Toutefoiz voulsissent bien le conte d’Ermignach et le sire de Labreth que il lui eust fait guerre, mais le duc n’en avoit nulle volenté. Et envoya devers lui a Ortais, e

8. Besançon 865 (220 v) 3-20 [ rs: person ]

du roy de Navarre qui fu frere a celle dame, car le roy de Navarre plegea le seigneur de Labreth, que le conte de Fois tenoit en prison, pour la somme de cinquante mil frans. Le conte de Fois, qu

9. Besançon 865 (220 v) 3-20 [ rs: person ]

us dictes voir, mais se je cuidoie que le roy de Navarre deust la contourner ce paiement, jamais le sire d’Alebreth ne partiroit d’Ortais, si seroie paiéz jusques au derrain denier. Et puisque vous en priéz, je le f

10. Besançon 865 (220 v) 3-20 [ rs: person ]

ceste parole et sur l’obligacion du roy de Navarre qui en fist sa debte envers le conte de Fois, le sire de Labreth fu quittez et delivrez, et se tourna françois et s’en vint marier en France a la suer le duc de Bou